top of page

CHUTE   LIBRE 

 

 

 

 

 

 

 

 

Opéra SF pour dispositif électronique, voix, et  batterie arrangée.

La lune pète un câble, suite à ça le monde fait face à un dérèglement gravitationnel.

Cela provoque des dissonances physiques et mentales.

Un groupe de musique est entrain de créer une chanson : Le gout de la Cerise .

Les oiseaux il n'y en a plus. Ils ont été récupéré par les entreprises pharmaceutiques comme unique remède efficace.

Le spectacle se déroule tel un poème contemporain, une enquête sur la matière.

Un espace surréel et poétique où la notion du temps est suspendue dans les brèches d’un rêve.

 

livret: jeanne susin.

composition jeanne susin  oleg ossina.

Interprété par Etienne Barboux, Oleg Ossina et Jeanne Susin. 

Aide direction d’acteur : Anthony Devaux.

Création lumière : Anna Carlier.

Son : Paul Alkhallaf, Guilhem Angot.

Costumes : Popline Fichot.

Maquillage : Anna Koral

Scénographie : Jeanne Susin.

Peinture scénographie : Benjamin Stierlé.

Assistant·s scénographie : Etienne Barboux et Lilli May.

 

Subventionné par La Drac, La Région Ile De France, La Ville de Paris. 

Produit par La Zède, Résonnance, la fabrique des illusions.

En partenariat avec Banlieue Bleue, Le Pavillon de Romainville, Le Cirque Electrique, Le Théâtre Sainte Marie d’en Bas, Les Détours de Babel.

Chute Libre est un questionnement sur la société contemporaine et sur le rapport addictif que les gens entretiennent avec le monde ; sur les dérèglements des relations humaines ; sur l’absence de gravité au sens premier et figuré du terme ; sur le détachement de soi à soi et au monde.


critiques

« Un espace scénique perméable, précaire, traversé par des techniciens, qui  nous  place immédiatement derrière le rideau  de  la représentation.

Dans cet espace, une figuration du chaos créateur, avec toutes les forces contradictoires  qui  le  composent , la panique  mortifère  face à la chute imminente, le désir forcené de s'incarner de la manière la plus totale et la plus fulgurante possible. 

Dans cette figuration les éléments  de  mime et  de comédie  expriment principalement l'étrangeté au monde, le dysfonctionnement, le terrible carcan 

des fonctions nerveuses. Et dans ce flot de gestes et de paroles parcellaires et contrariés, c'est la musique qui a le pouvoir de faire converger toutes choses, de tout animer. 

J'ai été frappé par la fin, où quelques ajustements dans les costumes et dans la posture balayent complètement le cauchemar des coulisses et nous ramènent dans la représentation classique, plus lisse et rassurante, mais aussi plus lointaine.

En fait, j'aime la façon dont ce dispositif inverse le « montrable » et le « caché », et se place à la frontière de l'intelligibilité, du conscient, donnant à tout ce qui y surgit vraiment une dimension unique.

J'y vois une façon de matérialiser cet ultime et inaccessible fantasme du créateur : abolir toute distance, tout processus entre la matière onirique brute et l’œuvre. » Fabrizio Bonachera.

photo 5.jpg
photo 2.jpg
Capture d’écran 2022-11-22 à 17.38.35
Capture d’écran 2023-01-26 à 18.02.20
Capture d’écran 2023-01-26 à 17.45.18
Capture d’écran 2022-11-22 à 17.40.41
Capture d’écran 2023-01-26 à 18.08.20
Capture d’écran 2023-01-26 à 17.44.27

DOCUMENT OF SECRET MEETING(1843)  FOUND AT CITE DES ARTS

20220618_195141(0).jpeg

PERFORMANCE avec les Femmes artistes de la Cité Internationale Des Arts. 

Florinda Cuccio, Eva Djen, Aliona Kostornaia, Maria Norman, Tessa de Baudinière, Tanja Lazetic, Antigonna, Olga Ossina.

​and the partitipation of  the Lyrical Singer Antonina Stepanova. 

Nous sommes dans un corridor, au cinquième étage d’un immeuble.

Une femme apparait par une porte et arpente le couloir avant de disparaitre par une autre porte un peu plus loin.

Elle apparait et disparait plusieurs fois toujours par les mêmes portes.

Il est environs 21h, le soleil couchant, très proche de la terre, se déverse petit à petit par la fenêtre du 5eme étage. Une rivière d’or vient inonder l’obscurité presque silencieuse.

Tandis que la femme marche, le bruit de ses talons explose le silence. 

Soudain une autre femme apparait par une autre porte, arpente le couloir jusqu’à disparaitre par la même porte que la première. Elle répète le même chemin à l’infinie. Puis de plus en plus de femmes sont présente. Un jeu de ricochet sonore et visuel frappe l’espace. 

De leurs pas provoquent une cacophonie de plus en plus dense, elles s’arrêtent toutes de marcher. Pourtant, dans cette immobilitée soudaine, le bruit de leurs marches se fait encore plus dense et offensif, le son de la traversée du couloir persiste, le souvenir vient falsifier l’origine du son qui s’est transformé en averse torrentielle. 

Dans la pièce, le soleil se donne enfin à la pluie. 

L'arc en ciel se forme dans l’esprit du spectateur. 

En partenariat avec  Banlieue, Bleue, La Cité Internationale des Arts.

DIGGIN' THE CLOCK

pochette celle la-fotor-20230702164811.png
Capture d’écran 2025-03-03 à 17.28.29.png

Diggin'the clock

Ce projet est né d’une collaboration avec mon père, Juli Susin, initiée après la création de son portrait-partition Chronos Swimmer, que je lui ai offert en 2019. Inspirés par cette partition, nous avons entrepris chacun un travail de recomposition à partir d’œuvres inachevées :

Lui, à partir de fragments de films et d’histoires imaginées lors d’un voyage au Paraguay.

Moi, à partir d’enregistrements d’improvisations au piano préparé réalisés durant mon adolescence.

Ces morceaux de musique sont comme des vaisseaux naviguant à contre-courant de la rivière du temps, construits dans la matière du souvenir. Composée et produit exclusivement à partir de piano préparé, la musique explore une texture spatio-temporelle abstraite, invitant aux états de transe qui nous assaillent lorsque nous replongeons dans un souvenir.

Avec la participation de Sylvain Rabourdin, Mathieu Camiglieri, Myrtille Hetzel

Collaboration Mixage : Paul Alkhallaf

 

Co - production Les  Abattoirs de Toulouse, Banlieue Bleue, La Dynamo, La Region Ile de France. 

chewing gum silence

350862_670410eddb4ad.jpg

spectacle musical pour enfant. Une fable musicale sur l'intution de la musique.

conception  et composition : Antonin Tri Hoang, Jeanne Susin, Thibault Perriard.

Mise en scène : Samuel Achache.

 

Dans une mise en scène mêlant le rêve et l’absurde, le duo d’archivistes Michel et Michel, qui veille sur toutes les mélodies du monde,

aide Irène à retrouver celle qui lui permet de s’endormir.

selections presse...

Production La Sourde, Banlieue Bleue.
coproduction Les 2 scènes - Scène nationale de Besançon, Nouveau Théâtre de Montreuil – CDN, Festival d’Automne à Paris
Avec le soutien du CNM , de la SACEM.
Soutien à la re-création La vie brève - Théâtre de l’Aquarium.

Spectacle créé le 18 mars 2018 à la Dynamo dans le cadre du Festival Banlieues Bleues. 

Recréation le 21 novembre 2019 au Nouveau Théâtre de Montreuil – CDN dans le cadre du Festival d’Automne à Paris.

LA LUNE PETE UN CABLE

Série-web SF audio-visuel en cinq épisodes, réalisé par Jeanne Susin et Oleg Ossina.

commande pourTransfo - Emmaus  (Paris, mai 2025).

 

La lune clignote. Suite à cela la vie sur terre se déforme à une vitesse fulgurante. Dans une banlieue situé aux abords des montagnes, un jeune garçon est devenu insomniaque. Il profite de ses nuits blanches pour enquêter sur le net à propos de la femme-oiseau, un phénomène controversé dû au déréglement de la lune.

épisode 1  

épisode 2  

épisode 3

épisode 4

épisode 5

HOROSCOPE

Capture d’écran 2025-03-04 à 11.45.46.png
Capture d’écran 2025-03-04 à 11.46.18.png

Court-métrage  de Jeanne Susin et Oleg Ossina.

Deux divinités enfermés dans une ruine passent leur vie au bord de leur fenêtre respective. Ils font dominer leurs yeux sur le monde. 

Un mur de pierre épais les sépare l'un de l'autre. Ils  communiquent à travers le son. 

FOSSE

Opéra pour un parking. de Christian Boltanski et Franck Krawczyk.

Forme de spectacle qui répond à trois règles : l’espace donné constitue la base du livret ; le spectacle n’a ni début ni fin (on peut entrer et sortir à n’importe quel moment) ; le spectateur n’est pas placé devant mais déambule au cœur même de l’espace scénique.
 
Tel Dante ou Orphée, le visiteur erre dans un lieu indéterminé, immergé dans ce qui se passe au-dessous, sous la surface, sous la scène, déplaçant l’enjeu sur ce qui ordinairement tend à être dissimulé. Fosse, ou l’opéra comme mise en abîme.

Conception : Christian Boltanski, Jean Kalman, Franck Krawczyk

 

Piano : Jeanne Susin, Héloïse Bertrand Oleari, Clément Darlu, Yannaël Quenel, Claudine Simon, Nicolas Worms

Violoncelles : Sonia Wieder-Atherton, Hortense Airault, Laurène Barbier-Combelles, Solène Chevalier, Sary Khalife, Barbara le Liepvre, Nicolas Menut, Alice Picaud, Amélie Potier, Augustin d’Oliveira, Wesley Sampaio, Camille Supéra, Adèle Viret
Guitare : Jean Galmiche


Percussions : Tancrède D. Kummer, Yuko Oshima
Chœur : accentus, Karen Vourc’h
Coordination figurants : Murielle Bechame
 
Commande de l'Opéra Comique
 Production : Opéra Comique
Coproduction : Centre Pompidou
Avec le soutien du Fonds de Création Lyrique


 

bottom of page